Certaines personnes qualifient ce roman de « semi-utopie ».
Il est vrai qu’on s’aperçoit au cours de sa lecture, que certaines des idées du romancier ont été mises en place depuis la publication de son livre en 1975 : les bicyclettes mises gratuitement à la disposition de tous, le développement des transports électriques, le recyclage, la lutte contre l’obsolescence programmée, etc.
Mais l’auteur va beaucoup plus loin dans sa conception écologique d’un monde plus responsable et je vous invite à vous pencher sur son roman pour davantage de détails.
Personnellement, j’aime beaucoup l’idée d’immenses forêts protégées, de jardins et de parcs créés à la place de parkings bitumés. 🙂
Mais l’écrivain nous interroge également : même si un pays décidait un tel programme écologique, il reste néanmoins en relation avec d’autres pays qui n’appliquent pas le même programme. Et ces pays sont tout à fait capables d’entrainer des catastrophes écologiques qui toucheront la planète entière. Même ce pays à l’éthique soi-disant irréprochable…
Certes, les nombreuses descriptions risquent de décourager certains lecteurs. Mais toute personne qui s’intéresse, même un peu, à l’écologie et au développement durable, verra dans ce roman, une source de réflexion qui peut aboutir à d’enrichissantes discussions et peut-être nous inspirer pour les années à venir ? 😉