Un peu complexe à appréhender au départ, l’auteur a le mérite de nous offrir un récit très original et même inédit en la matière, dont le suspense incite à persévérer.
C’est incroyable mais dans « Ilium », Dan Simmons utilise quasiment tous les thèmes qu’on peut trouver dans l’univers de la science-fiction : space-opera, téléportation quantique et voyage temporel, extraterrestres, intelligences artificielles et robots, nanotechnologie, uchronie, post-apocalyptique, fantastique…
C’est beaucoup. Peut-être un peu trop. Mais j’admire le talent et l’imagination de cet écrivain qui réussit à agencer et structurer son récit en une épopée fantastique cohérente.
J’ai été un peu frustrée par le dénouement, une fin inachevée d’un roman pourtant volumineux, jusqu’à ce que j’apprenne qu’un autre livre paru en 2006 y faisait suite : « Olympos » (que je n’ai pas encore lu, je l’avoue…). Certaines interrogations subsistent qui s’expliqueront, je l’espère, dans cette suite.
Tous vos commentaires sont les bienvenus concernant ce roman hors du commun. 😉