Alors que chez Bradbury, posséder un livre était interdit, ce n’est pas du tout le cas dans cet avenir hypothétique. La lecture est autorisée et même valorisée. Il est même amusant de constater que les bars, restaurants ou rues portent le nom d’auteurs ou de romans célèbres.
Mais bien sûr, les ouvrages publiés en version papier ou numérique ne contiennent alors que du texte. Un peu fâcheux pour certains réseaux sociaux axés sur les photographies ou les vidéos et pour notre civilisation qui accorde une telle importance à l’image, non ? 😉
« La brigade de l’oeil» impressionne par son parallèle avec le célèbre roman de Bradbury, mais aussi par son contenu choc, éclatant avertissement face à toute dérive despotique.
Bonjour.
Ayant adoré Fahrenheit 451, votre chronique donne envie de se plonger dans cette dystopie, même si le thème ne semble pas, finalement, très original aujourd’hui. Cependant, je note le titre et l’auteur. Je suis toujours avide de découverte 🙂
Bonjour et merci pour votre nouveau commentaire.
Vous avez raison mais ce roman incite surtout à la réflexion alors que nous vivons dans une époque où l’image est omniprésente dans les médias et les réseaux sociaux 🙂