Dans un monde où tout art cinématographique est interdit, retrouver de véritables bobines de films est un événement considérable, semblable à la découverte d’un trésor. Parfois, un film nous emmène avec nostalgie vers le souvenir d’époques révolues. Il appartient également à la mémoire culturelle de l’humanité…. L’auteur nous remémore ainsi certains films célèbres, et rend particulièrement hommage au génie de Charlie Chaplin.
Quand les salles des cinémas étaient fermées et que les projections de distrayantes œuvres cinématographiques nous manquaient, auriez-vous imaginé, sans appréhension et sans un frisson d’angoisse, un avenir où celles-ci seraient bannies à jamais ?
Seriez-vous capables de concevoir un monde où vous ne pourriez pas conserver des photographies d’êtres aimés ou d’évènements particuliers si précieux pour vous ?
Bonjour.
Ayant adoré Fahrenheit 451, votre chronique donne envie de se plonger dans cette dystopie, même si le thème ne semble pas, finalement, très original aujourd’hui. Cependant, je note le titre et l’auteur. Je suis toujours avide de découverte 🙂
Bonjour et merci pour votre nouveau commentaire.
Vous avez raison mais ce roman incite surtout à la réflexion alors que nous vivons dans une époque où l’image est omniprésente dans les médias et les réseaux sociaux 🙂