Un jour, notre étoile, le Soleil, deviendra une géante rouge puis explosera en milliards de milliards de particules d’hydrogène et d’hélium. Et le système solaire sera détruit.
Malheureusement, cette sentence de mort se rapproche de nous, pauvres terriens… C’est pour cette raison que toutes les nations s’unissent sous un gouvernement de coalition afin de sauver l’espèce humaine. Il faut fuir avant que la Terre ne soit désintégrée. Mais même s’il reste encore des siècles et des siècles, il faut déjà s’y préparer.
C’est pour cette raison que les hommes ont l’idée folle de partir dans l’espace pour rejoindre un autre soleil, mais en utilisant un vaisseau gigantesque : la Terre elle-même !…
Bonjour.
Vous me précédez d’une longueur pour écrire une chronique sur cette novella 🙂
Je viens juste de l’acheter… elle est prête sur ma liseuse… je finis mon bouquin actuel et hop ! je m’y attaque.
Bonjour,
Ah, désolée.. Eh bien, j’espère que la lecture de cette novella vous plaira autant qu’à moi 🙂
On n’a déjà réussi à transformer la lune en vaisseau spatial.. Bon c’était en 1999….alors pourquoi pas la terre 😉
Pourquoi pas, en effet ? Mais je préfèrerais quand même qu’on fabrique de nouveaux vaisseaux super puissants et rapides… 😉
Bon, ben, voila, je viens de le finir.
Et vous aviez raison, le récit est bouleversant. À la fois triste et plein d’espoir.
Qui plus est, il y a suffisamment de hard science pour qu’un physicien comme moi y trouve son compte 🙂
Ça me conforte dans l’idée de me taper la trilogie du « Problème à trois corps ».
Ravie que vous partagiez mon point de vue 🙂
Je n’ai pas encore lu la trilogie du « Problème à trois corps » et je me tâte encore à ce sujet…
P.S. : par certains côtés, « Terre errante » m’a un peu rappelé la nouvelle d’Asimov « Quand les ténèbres viendront » lorsque les habitants de l’hémisphère Est se trouve plongés dans le noir et voient se développer une phobie du soleil.
Je ne me rappelle pas avoir lu cette nouvelle d’Asimov mais elle m’a l’air fort intéressante…
En fait, j’ai triché car la nouvelle d’Asimov est à l’inverse de la novella de Cixin. Dans « Quand les ténèbres viendront », la planète où vivent les protagonistes est dans un jour perpétuel, illuminée par plusieurs étoiles, et c’est seulement tous les je-sais-plus-combien de milliers d’années que tous les soleils se couchent en même temps et plongent les habitants dans une nuit inhabituelle. Tellement inhabituelle qu’elle déclenche la panique…