Après avoir été spolié de ses biens, Davis est resté avec son chat Petronius, avec qui il communique constamment et qui l’accompagne partout, jusqu’au bar où le pauvre ingénieur trahi va noyer son chagrin !
Petronius, aussi nommé affectueusement « Pete », n’aime pas l’hiver et il a pris l’habitude de faire le tour de toutes les portes de la maison, parce qu’il pense que l’une d’entre elles pourrait s’ouvrir sur l’été, c’est-dire le conduire vers le beau temps.
« Il me fallait donc, chaque fois, faire le tour des onze portes en sa compagnie, les lui ouvrir l’une après l’autre, et lui faire constater que l’hiver sévissait également, tandis que ses critiques sur mon organisation défectueuse s’élevaient crescendo à chaque déception. » (Robert Heinlein)
Et notre pauvre Davis qui a pour seuls amis, Pete et la petite Ricky, la belle-fille de Miles, aimerait lui aussi trouver cette « porte de l’été », parce qu’il déteste le froid et le désespoir qui l’étouffe après la trahison de Belle et Miles.
L’ingénieur envisage donc d’embarquer Pete avec lui pour son voyage vers l’avenir mais tout ne se déroule pas exactement comme prévu…
Amis lecteurs, ne soyez pas désolés de ne plus entendre parler de ce chat pendant un certain temps parce qu’il revient dans les derniers chapitres ! (Évidemment, je ne vous dirai pas comment ni pourquoi car il est nécessaire de préserver un peu de suspense 😉 )