Comme je l’ai écrit précédemment dans mon blog, il est parfois difficile de définir à quel genre appartient une œuvre de science-fiction.
J’avoue que je ne suis pas (ou plus) très fan de Fantasy, sauf lorsqu’elle flirte avec les thèmes classiques de la science-fiction. Celui des perturbations temporelles par exemple, comme c’est le cas ici. Ou lorsqu’il reste une part réaliste et scientifique dans l’oeuvre présentée.
Je ne critique pas du tout la Fantasy mais je préfère quand le récit s’appuie sur notre univers et pas un univers inventé de toutes pièces, avec des tas de prénoms étranges, avec des chevaliers, des créatures fantastiques et de la magie… ( Mais je me permettrai quelques exceptions pour certains livres 😉 )
Pour définir ce genre de littérature, Jacques Baudou, dans son livre « La Fantasy » (aux éditions PUF), insiste sur les phénomènes surnaturels, irrationnels, sur l’irruption de « créatures qui ne peuvent exister selon nos standards rationnels ou nos connaissances scientifiques ». C’est aussi une littérature souvent porteuse d’effroi et d’angoisse.
Même si certains critères sont remplis dans « la Mort du Temps », on peut néanmoins se permettre de douter de la totale (ou réelle) appartenance de ce roman au domaine du Fantastique ou de la Fantasy, mais je ne peux vous en dire plus sans vous en dévoiler l’intrigue…
Et au fond, est-ce si fondamental comme question ??
Découvrons donc de quoi il s’agit…
J’aime bien la couverture du roman…
oui, bien que cela rappelle un peu un triste événement récent, non ?…
Des ptérodactyles en guise de dragons ? 😉
Le pitch me fait penser aux bouquins de Arthur C. Clarke & Stephen Baxter (cycle de « L’odyssée du temps »). La Terre est subdivisée en zones dans lesquelles les époques sont différentes. En revanche, les temps ne se croisent pas.
Quand les époques se mélangent, tout est possible 😉 Encore un livre que je possède (seulement le tome 1) et que je n’ai pas encore lu (L’Odyssée du temps)…